De L'Alorémar

De L'Alorémar Hovawart

Hovawart

Notre histoire

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Scully à quelques mois



Une petite famille dont le Hovawart a toujours fait partie

Nous avons acquis notre première Hovawart en 2002 et la passion est née aussitôt : membre de la famille à part entière, notre Texas a vécu 15 ans avec nous et a vu grandir nos deux filles.

A ses 10 ans, nous avons pris l’initiative de lui apporter un nouveau compagnon : Horus. Ils ont vécu inséparables et complices pendant 5 ans. Là, nous avons compris qu’élever deux chiens ensemble était un grand bonheur. Plus tard, nous avons fait confiance à un élevage italien avec Philly del mare d’inverno. Quel grand bonheur de voir grandir cette chienne si belle, réservée mais aussi très proche de nous.

Aujourd'hui, nous vivons avec Pumba, issu d’un refuge quand il avait un an et demi. Croisé, il présente quelques traits de ressemblance avec le hovawart mais il s’en diffère énormément par sa plus petite corpulence et son caractère. Il a accueilli à bras ouverts Scully des bunkers de l’Elnon, notre dernière Hovawart, avec laquelle il s’épanouit au quotidien. Ils sont inséparables !



Scully des Bunkers de l'Elnon

Scully vient d’un jeune élevage familial des Hauts de France, à la frontière belge. Ses parents sont multi-champions. L’élevage des Bunkers de l’Elnon est tenu par des passionnés de la race qui m’ont appris plein de choses et m’ont conduit à plus m’intéresser aux conditions d’élevage.

J’ai alors compris tout l’intérêt des tests de santé pour le cheptel. Je me suis ainsi engagée à faire passer ces tests de santé à Scully : ils sont tous revenus corrects. Je me suis dit que c’était là l’occasion de réaliser un vœu jusqu’à présent inassouvi : faire une portée et devenir moi-même éleveuse.



Les recommandations du Club Français du Hovawart (Club de race)

J’ai souhaité me conformer au règlement d'élevage et à la Charte d'élevage du Club Français du Hovawart (CFH) dont je suis signataire, car je les considère comme un cadre sécurisant et un gage de sérieux et de transparence, nécessaires au bon développement de nos chiens dans leur famille, et de la race.

C’est ainsi que j’ai appris que les hovawarts faisaient l’objet de « cotations » (comme une notation) délivrées par le Club Français du Hovawart en fonction des tests de santé recommandés et des tests d’aptitude qu’ils peuvent effectuer lors de rencontres canines dites « régionales d'élevage » (deux dans l’année) ou « nationale d'élevage » (une par an). Ces tests permettent de garantir des qualités optimales pour l’élevage.

Ne peuvent devenir reproducteurs (dénommés « lice » pour les femelles, et « étalons » pour les mâles) que les hovawarts qui ont atteint une cotation minimale (2).

C’est le cas de Scully, 3 ans, la première lice de l'élevage de l'Alorémar.